Bienvenue à la paroisse Saint-Georges de Brue-Auriac
Vous y trouverez des activités, des informations pratiques, des horaires de messes, les dates des rendez-vous à ne surtout pas manquer dans votre paroisse… Bonne visite !
Équipe pastorale : père Jean-Paul TRÉZIÈRES (administrateur), Père Geoffroy BONFILS (vicaire)
Eglise Saint-Georges
Paroisse de Brue-Auriac
2 chemin de Saint-Martin - 83119 Brue-Auriac
Téléphone : 06 98 30 03 55
Un peu d’histoire…
L’église Saint-Georges a été consacrée le 7 septembre 1913 puisque le bâtiment ouvert au culte le 1er août 1858 sur ce même lieu, menaçant de s’effondrer, avait dû être détruit. Succédant au vénérable sanctuaire de Notre-Dame de Brue et à la chapelle du Cours, la nouvelle église eut une jeunesse mouvementée car 20 ans après son inauguration, elle donnait des signes de ruine prochaine. Ce qui ne devait pas tarder à se réaliser, car en 1898, ses murs se lézardant de façon inquiétante, il fallut en interdire l’entrée. En effet, la toiture était trop lourde et l’église menaçait de s’éventrer.
L’église actuelle a été consacrée au mois de septembre 1913 et donc rendue au culte. La communauté paroissiale fêtera le centenaire de la consécration le dimanche 6 octobre 2013. Cette église n’a qu’une seule nef, voûtée en berceau en plein cintre, avec des arcs doubleaux retombant sur des pilastres ; de chaque côté, deux chapelles ont été construites pour y recevoir chacune un autel.
Des arceaux ont été élevés dans la longueur des murs de la nef, afin de consolider les murs. Entre ces arceaux, qui forment comme des travées, de grandes fenêtres dispersent une abondante lumière. Le chœur est constitué par une abside en cul-de-four. La façade, que perce une assez grande baie, fait face au cours. Elle est surmontée d’un clocher mitre et des contreforts la soutiennent. Son porche, en pur roman, a son arc qui repose sur deux colonnes.
Cette église avait été construite en partie par un apport de la commune et en partie par un apport des fidèles. Après la séparation, alors que le culte ne s’y célébrait plus, deux généreuses paroissiennes la rachetèrent à la commune pour la somme de 10 000 francs (1912).